Auteur de l'article : Filipe Ferreira
1995/1997 : la 1ère génération de sites web
Les premiers sites web à se répandre sur le réseau sont souvent la transposition du papier, cherchant à reproduire la logique des supports l’imprimé.
La production et la diffusion de l’informations nécessite alors des connaissances « techniques » : le langage de description HTML et la gestion des serveur hébergeant les pages.
Un exemple : la Société Française de Physique
Un autre exemple : le portail Yahoo, en 1995
1997/2004 : la 2ème génération de sites web
Avec les premières années de recul, les concepteurs de sites web portent leur efforts sur le graphisme, l’interactivité et l’ergonomie.
On commence à réfléchir de manière plus approfondie à la présentation de l’information, la regroupant dans de manière thématique, dans ce que l’on commence à appeler des « portails ».
Cependant, les technologies utilisées pour la production et la diffusion d’informations restent réservées aux spécialistes (Javascript, java, flash…).
Un exemple : le portail Yahoo en 2004
2002/ : la 3ème génération de sites web
La priorité est donnée à la facilité de la production d’information, sa personnalisation et son accessibilité.
Les systèmes de gestion de contenus (CMS), en désolidarisant les éléments techniques des contenus bruts, permettent à chacun de devenir facilement producteur d’informations.
Les blogs (et leurs systèmes de gestion de contenus) et l’écriture collaborative prennent de plus en plus d’importance...
Un exemple de back-office de CMS : Wordpress :
2015/ : la 4ème génération de sites web : l’internet des objets ?
Et ensuite ? L’internet des IA ?