Auteur de l'article : Fabien Loudieux
Les univers
virtuels forcent-ils nos jeunes à oublier de vivre ?
L’attrait du virtuel
Généralement, une communauté virtuel et un peu comme les clubs dans certain pays, ou les gents de même passion si rejoignent pour partager leur passion. Et oui, avec l’évolution de la société, il est plus aisé de trouver une personne qui pense comme nous, qui aime les mêmes choses dans une communauté virtuelle, que de la trouver dans son entourage, souvent composé de personnes de culture, éducation et gout différents des nôtres. La société moderne, qui n’en est plus une au sens stricte de civilisation, à une part importante dans ce phénomène. Car maintenant, au lieu de devoir suivre le groupe pour éviter de s’isoler, au risque de ne pas épanouir pleinement ses désirs et ses goûts, mais plutôt ceux de la masse ou de la mode, certains jeunes, de plus en plus nombreux, préfère s’isoler des autres, conserver leur personnalité entière, et à ne pas se plier aux volontés du groupe. Cela est pousse à chercher d’autre forme de sociabilisassions, comme les réseaux sociaux ou les communautés virtuel rattaché souvent à des univers virtuel donc il fait partie, mais également former ses propres groupes régit par une pensé proche et des buts qui les unissent. Les nouvelles générations veulent choisir leurs passions, et leurs amis, sans faire de concession, tandis que d’autre reste encore attaché à la relation physique. Le But est de vivre pleinement ses passions, avec d’autre passionné, et s’isoler du jugement des autres qui ne font pas partie de leur communauté et dont leurs avis ne les interéssent pas ou plus. Cependant, savoir faire des concessions fait partie des choses essentiel pour vivre dans une société. Mais d’un certain côté, ce phénomène et plus néfaste pour elle que pour les personnes les utilisant, car cela prouve leur refus d’appartenir à cette même société et elle en souffrira donc. Bien entendu, il y a encore d’autre cas, comme celui de l’enfant qui si réfugie. Il s’agit plus ou moins du même phénomène, sauf qu’il est victime de la société dont il vie. Par exemple une mauvaise intégration dans un groupe scolaire forcera sa marginalisation. Il ne refuse pas la société, c’est elle qui le chasse. Par conséquent, l’enfant et amené à en chercher une nouvelle, ou il pourra s’y épanouir, et vivre comme n’importe qui. C’est une méthode simple et efficace pour éviter que l’enfant s’écroule, et c’est donc une situation très stable : l’enfant refuse généralement dans sortir et éprouvera que de l’animosité envers tout ceux qui le forceront à en sortir de force. J’ai souligné au dessus qu’il était plus facile de passer par des communautés virtuelles et de si déployer que de faire parti d’un groupe dans le monde réel. L’une des raisons et l’abandon des appréhensions et des préjugés des individus lorsqu’ils s’installent devant leur PC pour jouer. De plus, l’organisme dans un point de vue physiologique, consomme moins d’énergie, que de devoir se déplacer et accumuler des expériences physiquement. Sans parler de fainéantise, si votre enfant n’aime pas l’effort physique car il les perçois comme une sorte de souffrance (physiologiquement parlant) si sera plus attiré par cette forme virtuelle, qui lui semblera plus agréable. |
image creative common représentation d’une elfe en "set Majestic" du jeu lineage 2(c) photo de Rian * Les
communautés de passionnés on souvent
exprimé leur passion
par du cosplay. Surtout présent en Amérique et au
japon, les passionnés
revêtent les costumes de leurs héros. Le cosplay
c’est démocratisé surtout en Amérique
après la sortie de la trilogie de
*
|
D’autre raison,
parfois pathologique, peuvent
interagir. Mais dans tous les cas seules les parents peuvent juger
véritablement si sont comportement et nuisible ou nom, et
les psychologues ne
sont généralement pas forcément de si
bon conseil ! Faite attention, surtout au
livre de psychologie !
<< Mais concrètement, comment devons nous réagir ?
Nous avons exposé pas mal de raison dans cette article poussant les jeunes d’aujourd’hui de vivre à travers leur support informatique que plutôt rechercher des expériences réelles. Et comme l’absence pousse à l’oublie, ces jeunes finissent par se déconnecter du monde, car bien trop connecté à leur réalité parallèle. J’ai préférer exposer des raisons qui ne sont pas de nature pathologique, car je vous rassure que la grande majorité de ses jeune sont saint d’esprit, ou du moins ne présente pas de trouble pathologique (pas plus que nous). N’oubliez pas, Surtout si votre enfant à du caractère, qu’il a sans doute choisie de lui mêmes cette situation, ce qui rend difficile pour nous, les parents, de le faire sortir de son univers virtuel. Il faut savoir que ce phénomène touche tous les enfants, quelques soit leur classe sociale, leur origine, et leur caractère. Généralement, les Informations télévisuelle ou papier se focalisent sur les aspects les plus inquiétants, et poussent les parents à la peur. Je dois vous mettre en garde que seul les plus faibles psychiquement sont menacés, si l’on peut dire, par le phénomène d’addiction si souvent employé. Le conseil à donner aux parents est unique. Favorisez le dialogue, acceptez votre enfant comme il est, puis commencez par lui montrer autre chose et lui faire gouter à d’autre plaisir que celui de l’informatique, tout doucement. S’il y a affrontement, il est quasi sur que votre enfant choisira de s’isoler de vous et se refugiera encore plus dans le virtuel, persuadé que tous à l’extérieur sont contre lui.
<<
Nous
n’étions pas comme ca lorsque nous étions jeunes
!
Nos enfants
ont bien
été changés
quand même !
Oui
et non.
Il est vrai que le contenue et bien plus intéressant et
accessible
(facile à acquérir, et facile à
assimilé),
que l’était celui il y a à peine 25
ans. J’ai affirmé que dans la plupart des cas, l’attrait du
virtuel sur le réel
était de même nature que le notre à
leur âge.
Cependant ; il à été
démontré
qu’une partie de la nouvelle
génération, et surtout
chez les hommes, sont
plus sensibles aux expériences virtuelles et
attirés bien
plus par l’intellect
que le concret que nous l’étions. De nombreuse
découverte
à ce sujet ont
été réalisée.
Si vous
estimé que votre enfant passer la majorité de son
temps
libre isolé, devant un PC, ou s’adonne à une
passion sans diversifier ses
activités et sans pour autant la partager, je vous invite
à lire cet article :
Le Syndrome "Geek".
Pour simplifier, je dirais que les univers virtuels
sont plus la conséquence du phénomène,
que la cause première. Même si ces deux
facteurs, la richesse de l’un couplé à
l’affinité de l’autre créé
véritablement
un lien fort entre les jeunes et ces univers. Mais
généralement, un
passionné restera un passionné, et substituera
toujours une passion par une
autre.
Et
si certain demande comment l’on puisse en guérir,
je répondrais que l’on ne peut guérir de ce qui
n’est pas une maladie, car
ceci, et juste là conséquence d’un comportement
physiologique. Vouloir guérir
de ce phénomène reviendra au même titre
qu’à demander de guérir des cheveux
blond, ou d’une allergie.
Je vous conseille
également cet article, surtout si
celui ci ne répond pas à vos attentes, notamment
sur l’effet additif des
univers virtuels, employé
généralement par les médias de
façons erronés, et pour
but de jouer sur vos angoisses en tant que parents que sur un
véritable désir
d’explication.
<<
Les jeunes et le virtuel,
Simple effet de mode,
ou
véritable évolution de la
société ?
L’article
s’est focalisé sur
l’attrait du virtuel que l’Homme éprouve naturellement, mais
aussi sur des
utilisateurs qui cherche, par le biais du virtuel, à combler
un manque réel. Cependant,
l’attrait générale pour le virtuel de la
grande majorité de la population
et causé plus par la complexification de la
société actuelle. Le virtuel joue
ici de d’interface flexible entre le réel et notre
volonté, désir.
L’évolution
des mondes virtuels
dans notre société dépendra de
l’évolution du monde réel. Si le monde
évolue de
la même manière que pendant ces trente
dernières années, et sans conflits
majeurs, nous pouvons envisager une monté fulgurante des
univers virtuels, qui
prendrons des places de pus en plus importants dans nos vies. La
conjoncture
sociale favorisé le virtuel, plus souple que la
réalité et offrant une échappatoire
aux stress quotidiens. Contrairement aux Geek, ou à ce que
l’on pouvait croire
il y a quelques année, les univers virtuels
n’évolue pas tant que ça vers des
univers parallèles, mais plutôt comme des
interfaces interactif entre
l’imaginaire, le collectif, et la réalité. Il
suffit de voir l’expansion des
jeux comme second life ou les réseaux sociaux proposant des
univers pour mettre
en contexte les utilisateurs pour des buts bien précis
pouvant même être des
achat immobilisiez, recherche d’école ou d’emploie.
Cependant, les univers
virtuel tel que les jeux comme world of warcraft, mettant en
scène des mondes
imaginaires, semblent toujours demeurer dans les principales
réalités
virtuelles. Cependant, même ici, ce monde reste un support
à la réalité et
nombreux ceux qui s’en servent dans un but communautaire et de future
rencontre
dans la réalité. Finalement, les
réalités virtuelles semblent être bien
plus
des outils pour servir la réalité que de nouvelle
réalité faisant oublier aux
utilisateurs leur être de chair. Bien que je ne peux nier que
certain, de par
leur esprit, semblent belle et bien oublier ce détail.
J’insisterais encore sur
le coté flexible du virtuel, et très accessible.
Cela et voué à devenir le
principal intermédiaire entre notre volonté et le
réel. D’une certaine manière,
nous pourrons imaginer le Future voué à une
réalité
« cybernétique »,
ou la réalité sera mêlé ou
amélioré par des composants
virtuels.
je vous invite à lire cet interview. Il expose entre autre la motivation qui les pouuse à faire partie de communautés virtuelles.
<< L’avenir des mondes virtuels :
je vous invite également a visiter ces pages, un dossier sur l’avenir des univers virtuels fait par futura-science
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